Hypoglycémie - Hyperglycémie (Partie 6)

Hypoglycémie - Hyperglycémie (Partie 6)

Gửi bàigửi bởi admin » Thứ 7 Tháng 7 06, 2019 5:26 pm

Contenu

Hypoglycémie-Hyperglycémie 2
1. Variation dans les critères de diabète 2
2. Hypoglycémie 3
3. Effet de l’hypoglycémie sur les diabétiques et les non diabétiques 3
4. Hypoglycémie et cerveau 4
5. Hypoglycémie et coeur 4
6. Hypoglycémie et estomac 5
7. Hypoglycémie et intestins 5
8. Hypoglycémie et foie 5
9. Hypoglycémie et reins 5
10. Notes 5


Hypoglycémie - Hyperglycémie (Partie 6)

Variation dans les critères de diabète
Nous allons voir comment les changements des critères de diabète ont affecté la vie de bien de personnes.

OMS en l’an 1979 a adopté les critères suivants:
Avant repas: 100 mg/dL- 140 mg/dL ou 6.0 mmol/L – 8.0 mmol/L
Après repas: 140 mg/dL- 200 mg/dL ou 8.0 mmol/L – 11.0 mmol/L
Ce sont les meilleurs critères de diabète qui ont été adoptés. Le nombre de cas de diabète rapporté n’est pas élevé pour attirer une attention particulière.

Autre changement:
Glycémie:100mg/dL-140mg/dL : Normal
Glycémie supérieure à 140mg/dL : Diabète

Puis les critères n’ont plus été reliés avec les repas
Glycémie inférieure à 70 mg/dL : Hypoglycémie
Glycémie supérieure à 126 mg/dL; Diabète. C’est ce critère qui a rendu diabétiques les 200,000 vétérans américains. Un taux élevé de mortalité a été observé chez ces vétérans, et a été rapporté par AIA, une association qui se penche sur les erreurs médicales entraînant un haut taux de mortalité.

06-Mars-2018: Les critères sont en fonction des périodes de la journée
Matin avant petit déjeuner:,
Non diabétique: 100 mg/dL; Diabétique: 70 mg/dL - 130mg/dL
Deux (2) heures après repas:
Non diabétique: inférieure à 140 mg/dL; Diabétique: supérieure à 180 mg/dL
Nuit, avant coucher:
Non diabétique: inférieure à 120 mg/dL; Diabétique: 90 mg/dL à 150 mgdL.

C’est en se basant sur la valeur de 90 mg/dL au coucher, qu’on a constaté que beaucoup de personnes diabétiques ont trépassé durant le sommeil, car leurs glycémies ont descendu au dessous du seuil de mortalité qui est de 60 mg/dL. La cause est qu’en manquant de sucre, la personne n’a pas assez de force pour se lever ni pour appeler de l’aide.

Les signes précurseurs de la descente de la glycémie vers le seuil de mortalité sont: agitations durant sommeil, cauchemars, mouvements forts, ronflements forts, sensation de frustration, transpiration nocturne...
Par contre, au coucher, une glycémie de 90 mg/dL pourrait être de 120 mg/ dL au lever matinal. Dans ce cas, il n’y a aucune gravité. Durant le sommeil, le corps a besoin du sucre, le sucre a été libéré du glycogène hépatique, ce qui a élevé la glycémie au lever matinal.

Hémoglobine glyquée HbA1c

Cette méthode mesure le taux de sucre fixé sur l’hémoglobine dans les globules rouges, et non le taux de sucre dans le sang. Elle permet de connaitre la moyenne des glycémies des 3 derniers mois.

La valeur de 6.5% représente le % d’hémoglobine glyquée (hémoglobine fixée au sucre) par rapport à l’hémoglobine totale.
Le critère de diabète de 6.5% est jugé trop bas, et a été modifié de 7% à 8%
% inférieur à 7% ou 154 mg/dL ou 8.6 mmol/L: Hypoglycémie
% supérieur à 8% ou 183 mg/dL ou 10.2 mmol/L: Diabète.

Hypoglycémie
Hypoglycémie désigne une basse teneur de sucre dans le sang, et hyperglycémie, une teneur de sucre élevée dans le sang.

L’hyperglycémie est bien connue et facilement détectable, mais l’hypoglycémie est plus sournoise car on n’y a pas accordé de l’attention, surtout dans la manifestation des signes précurseurs.

Le cerveau, puis le coeur sont les premiers à être affectés par la moindre baisse de glycémie, surtout en glucose. C’est pouquoi la nature a bien doté le cerveau du cercle de Willis pour parer à toute baisse d’apport sanguin. Le cercle, ou pentagone de Willis, est un réseau d’anastomose des artères pour permettre au sang d’arriver toujours au cerveau par différents chemins, même s’il y a une obstruction d’une quelqonque artère irriguant le cerceau.

Effet de l’hypoglycémie sur les diabétiques et les non diabétiques
Cas des diabétiques
L’hypoglycémie est surtout mortelle durant la nuit, car c’est durant le sommeil que la glycémie chute. Le diabétique qui suit une médication, est habitué à composer avec le peu de sucre, l’intervalle tolérable de glycémie est plus large 90 mg/dL à 150mg/dL au coucher.Mais la descente de 90 mg/dL à 60 mg/dL, seuil de mortalité, est bien rapide et imperceptible.



Cas des non diabétiques
Au coucher, il y a hypoglycémie quand la glycémie est inférieure à 120mg/dL. N’étant pas habitué à avoir peu de sucre, la moindre baisse de sucre, déclenche les signaux de détresse. A 100mg/dL, la personne va sentir des malaises, et va réagir en conséquence.

Hypoglycémie et cerveau
A l’état d’éveil, les signes suivants sont communs pour le diabétiques et les non diabétiques, quand il y a hypoglycémie au cerveau.

Étourdissement, acouphènes, trouble de la vision, fatigue cardiaque, difficulté d’allocution, froid dans le corps, transpiration, tremblements, faiblesse des membres, tremblement des membres, manque de contrôle des mouvements, échappement des objets, transpiration, déviation de la bouche, paralysie faciale...

Douleur seulement à une épaule, dûe à l’artériosclérose des vaisseaux coronaires. L’artériosclérose coronarienne est dûe au manque de sucre pendant une période prolongée. Le manque sucre augmente les graisses qui vont se déposer dans les vaisseaux coronaires et les obstruer.

Comme le cerveau contrôle le système nerveux central et périphérique, il y aurait perturbation de la sensibilté, pouvant amener à l’insensibilité tactile et thermique des orteils des doigts, de la peau. Sans sucre, le sang n’arrive pas à nourrir les orteils et les doigts, ces derniers devront être amputés à un certain moment.

Hypoglycémie et coeur
Concernant la congestion cardiaque, une personne normale va ressentir de temps en temps des pointes de douleur au coeur, dont l’intensité et la fréquence augmentent avec le temps.

Les personnes hypoglycémiques manquent de sucre, donc manquent d’énergie et de chaleur, les vaisseaux sanguins sont rétrécis, la pulsation cardiaque baisse vers les 60 batttements par minute. L’effort combiné des organes et des viscères pour pomper le sang vers le coeur fait augmenter subitement l’affluence du sang au coeur, entrainant la congestion et l’éclatement du coeur. Ce proccesus est de courte durée mais fatal chez les diabétiques avec médication. La pose de stent serait indiquée, mais le manque continuel de sucre va rétrécir et obstruer d’autres vaisseaux coronaires, nécessitant d’autres poses de stent.

6. Hypoglycémie et estomac
Ce sujet important a été traité à plusieurs reprises. Rappelons que l’estomac est le principal récepteur d’aliments et le principal producteur d’énergie et de sang pour l’organisme, sans sucre, il n’yaurait de transformation des aliments en sang et énergie, mais en graisse qui donnerait de l’obésité et de l’obstruction des vaisseaux sanguins. Les aliments restés dans l’estomac vont fermenter, donnant des ulcères à l’estomac et des remontées acides, lesquelles vont donner des kystes au cou.

7. Hypoglycémie et intestins
L’estomac ne travaille pas, il n’y a donc pas de passage des aliments dans les intestins grêles, mais tout le sucre des aliments passe dans les intestins grêles et déversé dans le sang circulant élevant ainsi la glycémie. L’indigestion fait que la personne ne mange pas, n’a donc pas ni sang ni énergie, mais la glycémie reste élevée. L’accumulation de trop de sucre va former des kystes amenant au cancer des intestins.

8. Hypoglycémie et foie
Le foie doit puiser toute sa réserve de glycogène puis des graisses pour libérer le sucre. L’acétone est un produit de dégradation des graisses, la personne va dégager l’odeur d’acétone à travers sa respiration.

9. Hypoglycémie et reins
Les reins vont puiser le sucre des os, donnant de l’ostéoporose. À force de combler le sucre manquant, les reins doivent toujours sécréter de l’adrénaline et le cortisol, amenant ainsi à l’insuffisance rénale. L’adrénaline permet de dégrader les tissus adipeux (graisses) et dégrader le glycogène hépatique en sucre. Le cortisol augmente la glycémie par le biais de la néoglucogenèse (production de glucose à partir des précurseurs non glucidiques).

10. Notes
AIA American Iatrogenic Association a bien sonné le son de cloche sur les erreurs médicales entrainant un taux de mortalité élevé.

Les conséquences de manque de sucre tels que perte de mémoire, amputation des membres, accidents cérébraux et cardio vasculaires (ACV), obésité, filtration rénale, cancer...sont interprétées et présentées comme les conséquences du diabète (excès de sucre) par le monde médical actuel. En fonction de ce point de vue, tous les traitements établis vont aggraver la maladie.

Beaucoup de cas de douleur à l’épaule, aux membres, ou à la colonne ... récalcitrante aux traitements: acupuncture, massage, physiothérapie, saignement...s’est estompé après avoir pris du glucose (sucre de canne) et pratiqué les exercices de QiQongThérapie. Le sucre et les exercices, en favorisant la redilatation des vaisseaux obstrués, ont rétabli la circulation sanguine aux régions douloureuses. Il n’y a plus de douleur quand la circulation sanguine et énergétique est rétablie.
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Ngày tham gia: Chủ nhật Tháng 4 17, 2011 12:18 am

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