Risque de décès plus élevé par hypoglycémie que hyperglycémi

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Risque de décès plus élevé par hypoglycémie que hyperglycémie

Note. Le corps humain a besoin de sucre pour fonctionner. Le manque de sucre engendre des maladies incurables pouvant aboutir au décès.

Selon la médecine occidentale, les trois chiffres du tensiomètre indiquent: pression systolique, pression diastolique, pulsation. La branche médecine complémentaire du QiQong les interprète comme: Énergie, Sang, Taux de sucre dans le sang.

Une personne en santé ne sentirait pas de fatigue, de courbature après une journée d’activités régulières. Ce cas indique une bonne corrélation entre la pulsation et le taux de sucre dans le sang et ce, toujours en fonction des groupes d’âges :

Pression sytolique/diastolique
Pulsation
Groupes d’âges
95-100/ 60-65 mmHg 60 5 - 12 ans (enfants)
100-110/ 60-65 mmHg 65 13 - 17 ans (adolescents)
110-120/ 65-70 mmH 65-70 18 - 40 ans (jeunes)
120-130/ 70-80 mmHg 70-75 41 - 59 ans (adultes)
130-140/ 80-90 mmHg 70-80 60 ans et plus (personnes âgées)

En période de croissance, les enfants et les adolescents souffrent rarement du diabète.
Cependant, pour les personnes de 18 à 60 ans et plus, la glycémie à jeun est de 6.0 à 8.0 mmol/L, correspondant à une pulsation de 65-70 chez les jeunes, de 70-75 chez les adultes, et de 70-80 chez les personnes âgées.

En médecine orientale, le Froid ou la Chaleur dans le corps fait varier le rythme cardiaque. Si le taux de sucre dans le sang varie dans le sens contraire du rythme cardiaque, c’est signe de maladie grave.

Une personne en santé ne souffrant pas de diabète aurait une glycémie de:
- 6.0 à 8.0 mmol/L à jeun, et
- 8.0 à 12 mmol/L 30 minutes après un repas, tout en restant dans la marge sécuritaire selon les critères de la firme Accu Chek Aviva.

Accu Chek Aviva divise les maladies reliées au taux de sucre en deux catégories :
- Hypoglycémie  (taux de sucre) 1.7 à 3 mmol/L
- Hyperglycémie (taux de sucre) 14.4 à 19.1 mmol/L

La firme Contour affiche des valeurs, à jeun, 5.6 à 7.8 mmol/L (101-140 mg/dl) sur des lots de bandelettes test expirant en 07/2014. Pour les lots expirant en 01/2015 les valeurs seront plus élevées, toujours à jeun, 6.7 à 8.4 mmol/L Cela permet d’éviter des perturbations graves reliées à la chute de la glycémie dûe à tout surplus d’activités.

1. Identification des signes de la maladie et les causes de la baisse de la glycémie, pour une meilleure prévention

A – Signes de la maladie
Dès que la glycémie descend à ≤4.0 mmol/L (égal ou inférieur), les signes suivants commencent à apparaître:
Douleur à la tête, pâleur à la face, baisse de la température corporelle, transpiration froide, irritabilité, engourdissement, faiblesse et froid aux membres, incapacité de tenir stable un objet dans sa main, sensation de faim, pleurs, incohérence dans la parole, rétraction du système nerveux façial, légère convulsion des yeux, des lèvres, de la face, perte de lucidité, perte de la conscience, envie de dormir, démarche vacillante instable.

Même sans avoir des signes ci-haut cités, dès que la glycémie descend à 4.5 mmol/L, il est bon de pouvoir prendre deux cuillerées à café de sucre ou de miel pour éviter d’autre baisse du sucre. Et ce, quand on a faim ou en conduite automobile, évitant ainsi tout accident.

Une glycémie inférieure à 5.0 mmol/L, en permanence, donne lieu à la douleur et de la fatigue à la nuque, au cou, à la tête, aux épaules, aux bras, et conduirait à la paralysie, contraction des doigts, dégénerescence des vertèbres de la colonne et du cou.

L’insuffisance en sucre ne permet pas à l’organisme de maintenir la température corporelle stable. Les zones affectées deviennent froides et douloureuses. Le thermomètre sans contact (thermoflash gun) détecte ces zones en affichant 35 degrés Celsius ou «Lo » (détection impossible). Dans toute zone normale, l’affichage serait de 36.5oC à 37.5oC.

B - Variantes des signes de la basse glycémie chez les adultes
1- La basse glycémie avec coma donne lieu à un blocage des mâchoires, des vertiges, de la transpiration, de la contraction et des spasmes aux membres.
2- La basse glycémie sans coma donne lieu aux crises d’épilepsie avec raideur de la langue et paralysie du larynx, à la paralysie façiale, à l’hémiplégie, aux troubles d’allocution, de la vision (voir double). Dans ces cas, souvent la personne retourne à l’état normal après quelques minutes.
3- Troubles psychologiques et émotifs comme l’ivresse alcoolique, hallucinations, anxiété, peur comme possédé par le diable, sentiment comme quelqu’un va nous faire du mal, déambule hors de la maison, tenir des propos insenses comme les enfants, diminution du respect de soi, battements rapides du coeur, coeur bat fort, nausée, éblouissement, bourdonnement d’oreille, rage de faim, fatigue subite, tremblement de tout le corps, dépression, excitation, parfois migraine (douleur de la moitié de la tête).

Cas graves. Coma subit, coma profond, serrement des mâchoires ou convulsion de tout le corps, parfois hémiplégie. Baisse de la température du corps. Il y a des cas où la personne sort naturellement du coma après quelques heures ou quelques jours. L’injection du glucose accélère la rémission. Certains cas graves conduisent au décès par insuffisance cardiaque. La baisse spontannée du taux de sucre dans le sang a la caractéristique de ne survenir qu’en période de faim, à la même heure, de la même manière et se répète souvent. Une analyse du sang à ce moment confirme une basse glycémie.

Quand les cellules du cerveau ne sont pas alimentées en sucre (glucose), la personne perdrait la faculté de réflexion, le sens de l’orientation, aurait la douleur à la tête, tomberait en syncope, rentrerait dans le coma.

Malgre la diversité des signes, la médecine occidentale a énuméré les causes comme suit:
1- Les mouvements physiques font contracter les muscles, les muscles de l’abdomen amènent une transpiration chaude.
2- Irrégularité, retard ou abandon d’un repas font manquer de sucre.
3- Alimentation insuffisante en sucre, hydrate de carbone, chez les personnes qui évitent le sucre par peur du diabète.
4- Surdose d’insuline chez les diabétiques chroniques.
5- Insuffisance rénale et surrénale.
6- Utilisation de certains médicaments anticoagulants.
7- Intoxication par des champignons.
8- Ivresse alcoolique.
9- Tumeur au pancréas, des glandes endocrines, de la glande pituitaire, hyperthyroidie.
10- Tumeurs malins à la poitrine, à l’abdomen, au péritoine, dans le bassin, ou au muscle fessier.
11- Cancer au foie, à l’estomac, occlusion intestinale.
12- Personnes sensibles, anxieuses.
13- Sensibilité du réseau nerveux des poumons et de l’estomac.
14- Faiblesse de la fonction assurant l’augmentation du sucre dans le sang.

C- Soins d’urgence pour les enfants, suite à la chute de la glycémie en dessous de 4.0 mmol/L
Selon les instructions de l’organisation de la santé de l’Australie: donner aux enfants un des choix suivants:
1- ½ verre de jus de fruits ou 2 à 3 cuillerées à café de sucre ou miel, ou 5 à 7 bonbons jellybean ou ½ cannette de boisson sucrée (pas de diète), ou quelques morceaux de sucre équivalents 10 à 15 g. Finalement donner à manger aux enfants des fruits, des gâteaux, des bonbons.

En cas de crise ou perte de connaissance, appeler immédiatement du secours.!
- ne jamais forcer l’ingestion d’aucune substance, par voie buccale
- allonger l’enfant inconscient ou éveillé, sur le côté, vérifier qu’il n’y a aucune obstruction des voies respiratoires.
- appeler l’urgence (000), signaler « urgence diabétique » (si besoin, ils vont utiliser le service de traduction). Injecter une dose de Glucagon si disponible, et si on est entrainé à le faire. NB Le Glucagon est une hormone pour augmenter le sucre dans le sang, l’injection se fait au niveau du muscle à la face antérieure de la cuisse.
- rester à côté de l’enfant jusqu’à l’arrivée du secours.

L’organisation de la santé de l’Australie définit comme inférieure à la moyenne, toute glycémie inférieure à 3.9 mmol/L chez les enfants et inférieure à 6.4 mmol/L chez les adultes. C’est une maladie de secrétion, du métabolisme ayant un important impact sur les facultés d’activité, perturbant l’état de santé, au pire conduisant rapidement au décès.
Le bas taux de sucre est bien plus dangeureux qu’un taux élevé.

L’organisation de la santé de l’Australie émet des avertissements:
A savoir que la baisse du taux de sucre peut arriver graduellement, des fois 16 heures après des exercices physiques. Pour minimiser les dangers de baisse de la glycémie, vérifier le taux de sucre à l’aide du glycomètre, augmenter le glucose dans le sang en mangeant des matières sucrées (sucre, miel), des hydrates de carbone ou diminuer la dose d’insuline, pour les diabétiques qui en utilisent.

2—Traitement selon la médecine occidentale
Les médicaments contre le diabète font baisser le sucre. La régularisation harmonieuse du taux de sucre est assurée par deux hormones secrétées par le pancréas. L’insuline baisse le taux de sucre et le glucagon le fait monter. La glycémie augmente si l’organisme ne secrète pas assez d’insuline ou ne répond pas efficacement à l’insuline. Un traitement inapproprié par surdose d’insuline, par absorption trop rapide ou trop lente dûe à l’altération du tissu sous cutané des zones où il y a eu des injections répétitives depuis longtemps, par l’injection dans des régions où il y a beaucoup de mouvement comme bras, jambes, ou se couvrir pour se garder au chaud après une injection d’insuline.

Chez les personnes qui utilisent les comprimés de Sulfamide, la baisse du sucre est dûe à plusieurs causes comme: prise excessive de médicament, prise de médicament en dehors des repas ou même sans avoir mangé, automédication sans avis du médecin, excès d’exercices physiques.
-Si on est à l’extérieur, toujours avoir à sa portée des sources sucrées: confiseries chocolat, boissons sucrées pour s’en servir dès l’apparition des signes de baisse de sucre.
-A la maison, une légère baisse du sucre est contrecarrée par la prise des gâteaux, des fruits, du lait, ou n’importe quelle nourriture à sa portée.
- Si la baisse du sucre est dûe au diabète, suivre les instructions du médecin pour l’alimentation et la prise des médicaments à tous les jours.
- Ne jamais sauter un repas, consommer une quantité suffisante en hydrate de carbone, au besoin, ajouter des repas intermédiaires, consommer beaucoup des légumes.
- Pratiquer régulièrement des exercices physiques appropriés.
- Certains diabétiques nécessitent un apport en glucose, soit par injection, soit par voie orale. Il persiste des cas où les causes sont très difficiles à détecter. L’insuline secrétée par le pancréas sert à régulariser le taux de sucre dans le sang.
- Une tumeur au pancréas induit spontanément la baisse du taux de sucre. Ce cas est complètement enrayé par l’ablation chirugicale de la tumeur.





3- Traitement par les exercices de QiQong pour métaboliser le sucre
a. Sucre fonctionnel. C’est la quantité de sucre dite de réserve, de 2 mmol/L (équivalente à 2 cuillères à café de miel) en plus du sucre existant. Sa présence amène la glycémie à 6.0 mmol/L+2.0 mmol/L. Ce surplus est utilisé durant les activités physiques, dont les exercices de QiQong. Après les exercices, la glycémie retombe à 6.0 mmol/L, donc reste dans la marge sécuritaire.

La branche médecine complémentaire du QiQong s’appelle QiQongThérapie. Elle propose des exercices, que tout le monde peut faire soi-même pour traiter l’hypertension, l’hypotension, améliorer la circulation énergétique et sanguine. Comme toute activité physique, les exercices de gymnastique de QiQongThérapie font baisser le taux de sucre dans le sang.

b-Pratique de l’exercice : Tirer les genoux et les presser contre l’abdomen
Le QiQongThérapie peut faire baisser la tension artérielle
Avant de pratiquer les exercices, prendre la pression aux deux bras, et mesurer la glycémie. Si la glycémie est inférieure à 7.0 mmol/L, prendre 2 cuillerées à café de miel dans un peu d’eau chaude, ensuite pratiquer les exercices. Chaque cuillerée de miel fait augmenter le taux de sucre de 1 mmol/L. Si la glycémie est supérieure à 7.0 mmol/L, on n’a pas besoin de prendre d’autre sucre de réserve, dit “sucre fonctionnel”.

Pratique de l’exercice :
- Allonger sur le dos
- Avec les deux mains, prendre le genou gauche, tirer vers la poitrine et presser contre l’abdomen, expirer en soufflant fortement et lentement par la bouche (ce mouvement presse sur l’estomac)
- En fin d’expiration, compter mentalement 1, 2, 3 tout en maitenant le genou gauche bien pressé contre l’abdomen et la bouche entrouverte pour détendre et assouplir davantage tous les muscles de l’abdomen, de la face. C’est la phase de détente
- Allonger la jambe gauche à plat
- Répéter les mêmes mouvements avec le genou droit. A droite le mouvement presse sur le foie.
Une séquence totalise 100 fois (50 fois chaque genou)
Cet exercice permet de baisser le taux de sucre dans le sang, baisser le cholestérol, regénerer les fonctions du foie, de l’estomac, des poumons, des reins, des intestins, de la vessie, améliorer la digestion, et fondre l’excès de graisse à l’abdomen.

Après la séquence de 100 fois, reprendre la pression aux deux bras et la glycémie. Si la glycémie est encore élevée, continuer avec la deuxième séquence de 100 fois, sans prendre du miel. Si la tension artérielle commence à baisser, c’est que la conduite de l’exercice est bien correcte. Continuer les séquences, sans nécessité de reprendre la tension après chaque séquence. Toujours prendre 2 cuillerées à café de miel avant d’entamer la séquence suivante.
Après avoir complété les 6 séquences (600 fois), mesurer d’abord la glycémie et après, la tension aux deux bras, noter les résultats de la baisse de la tension artérielle.
Reposer 15 minutes puis reprendre les mesures de la glycémie et la tension aux deux bras.

Cas d’hypotension. Le QiQongThérapie permet d’augmenter la tension artérielle
Avant de commencer les exercices, mesurer la tension aux deux bras et la glycémie.
Si la glycémie est inférieure à 7.0 mmol/L, prendre 2 cuillerées à café de miel dans un peu d’eau chaude. Si la valeur est supérieure à 7.0 mmol/L, ne rien prendre.

C’est le même exercice que pour l’hypertension, avec 2 différences :
Il n’y a pas de phase de détente, le mouvement Tirer les genoux se fait plus rapidement
- Allonger sur le dos
- Tirer rapidement le genou gauche à la poitrine, presser contre l’abdomen, expirer en soufflant fortememt et rapidement
- Allonger la jambe gauche
- Continuer avec le genou droit, sans phase de détente
Après chaque séquence de 100 fois prendre 2 cuillerées à café de miel
Après 6 séquences (600 fois), mesurer la tension et la glycémie et noter, les résultats de l’augmentation de la tension artérielle.

Si la glycémie est inférieure à 7.0 mmol/L, reprendre du miel, si supérieure à 8.0 mmol/L, ne rien prendre.
Apres 15 minutes de repos, re-mesurer la tension et la glycémie.

c- Constatation des résultats après des exercices de QiQongThérapie
La médecine complémentaire, une branche du QiQong, a compilé les résultats à partir des personnes ayant pratiqué par elles-mêmes les exercices pour traiter l’hypertension ou l’hypotension en tenant compte de la relation nécessaire du “sucre fonctionnel” avec les activités physiques.

Exemple 1 L’hypertension
Patient 1: Adulte, groupe d’âge 41-59 ans dont les valeurs de référence sont :
120-130/70-80 mmHg ; pulsation 70-75

Valeurs mesurées avant les exercices
Gauche 140/98 mmHg, pulsation 85; Droite 138/95 mmHg, pulsation 83 ; Glycémie 6.5 mmol/L. La personne a pris 2 cuillerées à café de miel avant de pratiquer les exercices.

Pour simplifier, les abréviations sont: G=gauche, D=droite, P=pulsation, Gl=glycémie Unités : Pression: mmHg, pulsation : battements par minute, glycémie: mmol/L

Départ G 140/98, P 85 D 138/95, P 83, Gl 6.5
Séquence 1 G 137/87, P 91 D 135/81, P 95, Gl 6.0 donc a pris 2 cac de miel
Séquence 2 G 134/97, P 89 D 129/94, P 87, Gl pas de mesure, a pris 2 cac de miel
Séquence 3 G 130/92, P 86 D 129/91, P 88, Gl pas de mesure, a pris 2 cac de miel
Séquence 4 G 128/88, P 83 D 126/87, P 85, Gl pas de mesure, a pris 2 cac de miel
Séquence 5 G 123/83, P 80 D 125/81, P 83 , Gl pas de mesure, a pris 2 cac de miel
Séquence 6 G119/79, P 77 D 122/76, P 78 , Gl 6.9 mmol/L, a pris 2 cac de miel pour prévenir toute baisse de sucre dans les deux prochaines heures.

Les mesures prises, avant et après avoir terminé 6 séquences d’exercices (6 fois 100=600) montrent clairement la baisse graduelle de la tension artérielle ainsi qu’une stabilité de la glycémie endéans de la marge sécuritaire, grâce à l’apport du “sucre fonctionnel” par la totalité des 12 cac de miel.

Les résultats suivants sont obtenus de la même manière. La personne a terminé 6 séquences (600 fois) et a pris entre chaque séquence 2 cac de miel.

Patient 2
Départ G 121/68, P 71 D 120/66, P 66, Gl 6.4
Fin G 115/67, P 82 D 110/66, P81, Gl 6.9

Patient 3
Départ G 132/79, P 73 D 137/79, P 68, Gl 6.5
Fin G 128/71, P 67 D 122/70, P 63, Gl 5.8

Exemple 2 L’hypotension
Exercice: Tirer les genoux rapidement à la poitrine et presser contre l’abdomen 100 fois, sans phase de détente. Après chaque 100 fois, prendre 2 cac de miel, et ainsi de suite jusqu’à complétion des 6 séquences. Ne prendre les mesures de la tension aux deux bras , et la glycémie qu’à la fin des séquences, pas entre les séquences. A la fin, si la glycémie est supérieure à 7.0 mmol/L, ne rien prendre; si inférieure à 7.0 mmol/L, reprendre du miel
C’est le sucre de réserve, pour éviter que la glycémie ne descende pas en bas du seuil critique de 5.0 mmol/L dans les prochaines deux heures.

Patient 1

Départ G 112/80 , P 80 D 110/78 , P 79 , Gl 4.9
Fin G 118/80 , P 88 D 130/92 , P 89 , Gl 6.4

Patient 2

Départ G 116/78 , P 87 D 113/77 , P 91 , Gl 7.5
Fin G 126/73 , P 85 D 121/70 , P 91 , Gl 8.0

Patient 3

Départ G 121/85 , P 90 D 124/87 , P 93 , Gl 7.2
Fin G 128/92 , P 99 D 132/94 , P 98 , Gl 6.5



4- Cas des personnes enceintes

Hypotension
Laisser à côté toute médication, ne prendre que la vitamine B 12 et pratiquer les exercices QiQong en prenant 2 cuillerées à café de miel. Ne pas pratiquer: Tirer les genoux et les presser contre l’abdomen, car la compression à l’abdomen affecte le foetus.
Pratiquer l’exercice: Frapper les fesses avec les talons des pieds rapidement. Chaque séquence comporte 200 mouvements. Après chaque séquence, prendre 1 cac de miel, continuer ainsi de suite pour un total de 5 séquences (5 fois 200=1000 fois). A la fin, mesurer la glycémie puis la tension et noter l’augmentation de la tension. Si la glycémie est inférieure à 7.0 mmol/L, prendre 2 cac de miel pour que la glycémie ne descende pas en bas de 5.0 mmol/L, seuil critique sécuritaire pour la santé, dans les 2 prochaines heures.
Faire l’exercice 2 fois par jour, si la tension reste encore basse, faire 3 fois par jour.

Hypertension
Pratiquer le même exercice : Frapper les fesses avec les talons des pieds mais lentement.
200 fois. Mesurer la glycémie, si inférieure à 7.0 mmol/L, prendre 2 cac de miel et continuer ainsi 3 à 4 fois jusqu’à transpiration pour faire baisser la tension. A la fin mesurer la tension aux deux bras et la glycémie. Si la glycémie est inférieure à 7.0 mmol/L, prendre 2 cac de miel, si supérieure à 7.0 mmol/L ne rien prendre.
Faire l’exercice 2 à 3 fois par jour pour avoir de la transpiration.

5- Cas où la pulsation varie inversément avec la glycémie
Le tensiomètre fournit 3 valeurs: Pression systolique, Pression diastolique, Pulsation
Deux facteurs font augmenter le rythme cardiaque:
a- la fièvre ou les exercices physiques
b- un excès de taux de sucre dans le sang fait augmenter la température corporelle et de la pulsation.

Que ce soit par la prise des pouls en medécine orientale, ou l’utisation du tensiomètre et du glycomètre en médecine occidentale, on doit avoir un taux de sucre dans le sang proportionnel avec la pulsation. C’est à dire une pulsation de 70 à 80, correspond un taux de sucre de 6.0 à 8.0 mmol/L (100 à 140 mg/dl).

La contradiction entre la pulsation et la glycémie engendre 2 cas pathologiques difficiles à traiter.

a- Le Froid se déguise en Chaleur
Le Froid indique un manque de sucre dans le sang, donnant froid aux mains et aux pieds, le besoin de se couvrir, mais la pulsation est élevée avec chaleur interne. Le cas est semblable à une septicémie (empoisonnement du sang), mais sans présence de bactéries, ni de virus.
Exemple : pression 130/95 mmHg, pulsation 120, glycémie 4.5 mmol/L
La cause est dûe à la peur de consommer du sucre, à l’alimentation pauvre en sucre, ou à la prise des médicaments contre le diabète qui font trop baisser le sucre. Le manque de sucre provoque une insuffisance cardiaque (une forme de paralysie du muscle cardiaque entraînant l’ouverture trop grande des valves), une rétraction douloureuse des tendons, une somnolence, fatigue, faiblesse du coeur, étourdissement, nausée, perte de mémoire, apparition des kystes graisseux, liquides sous la peau. Si la pression systolique est basse, il y aurait des tumeurs au cerveau, dont la migraine, durant des années, en est un signe précurseur.

Les personnes, souffrant du cas pré-cité, se fatiguent très rapidement aux moindres mouvements, n’ont pas la force pour travailler. Selon les critères de la médecine complémentaire, le fait de Tirer les genoux 100 fois ou monter descendre les escaliers d’un etage 5 à 10 fois ferait baisser le sucre dans le sang de 2.0 mmol/L. Avec une glycémie de 4.5 mmol/L, cette personne ne pourra pas pratiquer les exercices. Pour pouvoir faire les exercices, il faut prendre 2 cac de sucre ou du miel pour monter la glycémie à 6.5 mmol/L.
Après avoir fait 100 fois Tirer les genoux ou monter descendre les escaliers la glycémie retombe à 4.5 mmol/L. Pour continuer à faire des exercices, il faut reprendre 2 cac de miel.
Ainsi pour fonctionner il faut prendre du sucre et pratiquer les exercices, ainsi de suite plusieurs fois par jour. Cela améliore la santé et élimine les troubles dûs à la basse glycémie. Au fur et à mesure que la glycémie augmente, la pulsation diminue pour finalement varier proportionnellement avec la pulsation. A une pulsation élevée, correspond une glycémie élevée, à une basse pulsation, basse glycémie. A partir de ce moment, la personne sait quoi faire pour ajuster le taux de sucre en fonction des besoins.

b- La Chaleur se déguise en Froid
La Chaleur indique un excès de sucre dans le sang avec chaleur aux members, mais la pulsation est très basse. La faible circulation du sang, incapable d’irriguer toutes les régions du corps, provoque des stases de sang en divers endroits donnant ainsi naissance aux kystes, aux calculs, au processus de calcification.

Exemple : pression 120/80 mmHg pulsation 55 glycémie 12 mmol/L
La cause est dûe à un excès de sucre et un manque d’activité musculaire, manque d’exercices physiques.
Dans ce cas, pour baisser la glycémie à la valeur normale de 6.0 - 8.0 mmol/L, il faut faire l’exercice: Tirer les genoux 3 fois (3 fois 100= 300) jusqu’à transpiration. La glycémie redevient normale et la répétition des exercices fera monter le rythme cardiaque.

6- Où se trouve la vérité?
Beaucoup de publications ou d’articles des jounaux propagent le danger du sucre, qu’il faut éviter ou minimiser au maximum son utilisation. Tandis que la pratique des exercices de QiQong nécessite l’apport de sucre pour augmenter la transformation et l’absorption des aliments, stimuler le refonctionnement du pancréas secrétant de l’insuline. L’insuline régularise la glycémie, conférant ainsi à l’organisme plus de force pour mieux fonctionner.
Pour connaître la vérité et les dangers encourus par un organisme en manque de sucre, nous pouvons receuillir les statistiques dans les hôpitaux pour voir s’il est vrai que la majorité des cas admis à l’hôpital est dûe à la basse glycémie, donnant des vertiges, de la faiblesse aux jambes amenant aux chutes. Cas des intellectuels paralysés et comateux, pas à cause de la haute tension, mais à cause d’une abondante sudation en jouant du tennis. La sudation baisse la glycémie, la personne perd connaissanse, tombe et subit une commotion cérébrale. Cas des personnes qui consomment trop et trop longtemps du riz brun avec du sel mélangé aux grains de sésame verront leur pression et glycémie baisser amenant à une insuffisance cardiaque qui conduit au coma et décès. Cas des personnes, en conduite automobile, provoquent des accidents à cause de la baisse de la glycémie. Cas des personnes, maneuvrant des scies pourront amputer accidentellement les membres par perte de concentration, de vigilance à cause de la baisse de la glycémie. Cas des migraines et tumeurs au cerveau suite à l’hypotension et la basse glycémie. Cas des troubles de la vision, de l’augmentation de la dioptrie, de la cécité, dûs au manque de sucre dans le sang. Cas des personnes qui sont hospitalisées suite à la fièvre avec fatigue au coeur, sans cause determinée. Ces personnes, graduellement, ne peuvent plus avaler les aliments car la langue est rendue rigide et inerte par manque de sucre dang le sang et doivent être nourries par intubation. Toujours, avec causes indéterminées, des personnes ont été hospitalisées. La dégradation globale, chez ces personnes est graduelle, de l’état encore lucide, conscient à la perte des facultés de mouvement, de déglutition, de respiration, les glissant imperceptiblement dans le sommeil éternel. En fin de compte, notons que, dans la médication de toutes ces personnes sont aussi inclus des médicaments pour baisser la tension et la glycémie, cela a conduit à la dégradation générale.

J’ai eu connaissance d’un cas d’une dame de 70 ans, hospitalisée, suite à la baisse de la glycémie avec une pression de 100 mmHg. Durant trois semaines, aucun médecin spécialiste n’a pu identifier les causes. En effet, l’origine des troubles est à l’exténuation.
La médication, incluant les injections, est sur une base permanente et comporte aussi des médicaments pour baisser la tension et le sucre. Durant cinq jours il n’y a pas des mesures de tension. Je me suis informé et l’infirmière a dit que la tension est basse, en bas de 80 mmHg et que le bras est trop maigre, rendant les mesures impossibles. La dame est encore consciente et peut parler. Je lui ai demandé de lever le bras, la jambe, remuer le pied, elle m’a dit qu elle n’a pas de force pour le faire. Je lui ai demandé si elle arrive à manger, elle m’a dit qu’elle n’a plus de force de bouger. J’ai suggéré aux members de sa famille de demander son congé de l’hôpital et rentrer à la maison, pour qu’elle puisse prendre du miel avec cannelle et de la vitamine B12 afin de reproduire et augmenter le sang ainsi que le sucre. Dans son cas, elle ne s’en sortira pas avec l’approche et la médication de la medécine occidentale. Elle a suivi mes conseils et un mois après, comme tout le monde, elle a fait un voyage d’agrément au VietNam.

7- Manque de logique dans l’établissement des critères pour la glycémie, et les modes de traitement
Nous sommes-nous demandés si, parmi les cas cités, une grande consommation de sucre en serait la cause? Evidemment non, tous ces cas sont dûs au manque de sucre. De là, nous constatons que les critères de la glycémie ne sont pas équitablement établis pour une population qui comporte deux catégories de gens: les personnes actives et les personnes âgées, retraitées. Des critères différents seraient plus logiques.

a- Des bas critères pour les sédentaires
Prenons l’exemple des personnes âgées dans les résidences. Ces gens ont peu d’activité physique, utilisent peu de sucre. Il y a peu de variation de la glycémie, avant et après les repas. Les portions de repas servis sont préparées pour avoir les valeurs nutritives nécessaires, sans faire monter la glycémie en haut de 6.0 mmol/L. Seul un suivi régulier de la glycémie, pour éviter toute baisse importante, serait utile. Les personnes qui abandonnent les repas, mangent peu ou presque pas, seront fatiguées à cause de la baisse du taux de sucre. Nous avons la Physiothérapie pour aider les cas de paralysie, de difficulté dans les mouvements. C’est domage qu’il n’existe pas de branche de Physiothérapie enseignant des exercices pour améliorer la digestion, l’absorption et la transformation du sucre en énergie utile pour un rapide rétablissement de la santé. Le manque permanent de sucre va amener à la perte de mémoire et à la sénilité (régression des facultés mentales chez les personnes âgées).

b- Des critères élevés pour les personnes actives
Les personnes physiquement actives, travaillant dur de tous les members, s’adonnant aux activités sportives, ont besoin plus de sucre. Ce serait illogique que ces personnes doivent prendre systématiquement des médicaments, dès que la glycémie dépasse 6.5 mmol/L. Le sucre est important pour nourrir les muscles, le muscle cardiaque, le cerveau.

Les besoins en calories sont différents d’une personne à l’autre selon leurs activités.
500 calories seront suffisantes pour une personne sédentaire. Par contre, une personne qui travaille a besoin de 2000 calories, si elle ne reçcoit que 500 calories, n’aura pas assez de force pour travailler. Le sucre dans le sang est pareil. Il devrait avoir 2.0 mmol/L en plus (dit "sucre fonctionnel") pour fournir l’énergie afin que le cerveau et les muscles puissent fonctionner sans entrave. Les critères étaient 6,0-8.0 mmol/L à jeun, 8.0-12.0 mmol/L après le repas, retour à 6.0-8.0 mmol/L 4 heures après un repas. Maintenant les critères sont uniformes et de même niveau que ceux des personnes âgées (avec peu d’activité) dans les résidences, involontairement aggravent la situation des malades, les rendant incapables de travailler. Si avec une glycémie de 6.0-8.0 mmol/L à jeun, un ouvrier d’usine prend des médicaments pour le diabète pour baisser à 5.0 mmlo/L, il n’aura plus de force. Durant la journée de travail, le sucre, descendant rapidement à 4.0 mmol/L, affectera le cerveau et les muscles engeandrant des accidents au travail insouhaitables.

Ce serait bien sensé, si chaqu’un de nous saurait régulariser sa glycémie par l’alimentation et la pratique des exercices de QiQong précédemment décrits, 30 minutes après le repas pour bien transformer tous les aliments en énergie comme la philosophie des athlètes. Les athlètes, en consommant beaucoup de sucre pour nourrir les muscles, le muscle cardiaque, le cerveau, maintiennent ainsi la forme, l’agilité, et peuvent s’adonner aux activités sans fatigue.

Espérant que cet article puisse être largement diffusé, grâce au média, pour informer sur le bien et le mal du sucre, aidant ainsi à éviter toute baisse dangeureuse du sucre amenant aux maladies incurables que nous traînons avec, tout le long de notre vie.


Do Duc Ngoc

NB Le video de l’exercice: Tirer les genoux et les presser contre l’abdomen est accessible a Youtube Keo Ep Goi Tho Ra Lam Mem Bung