Traitement conventionnel du diabète détruit l’organisme...

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Traitement conventionnel du diabète détruit l’organisme...un bien grand non sens (Partie 15) 1
A. Réponses aux 6 intrigues concernant le diabète 1
B. Pas de crainte pour les maladies chroniques ou cancers 10


traitement conventionnel du diabète détruit l’organisme...un bien grand non sens (Partie 15)

Réponses aux 6 intrigues concernant le diabète
J’ai recu beaucoup de courriels des personnes dont les parents sont décédés après une longue période de traitement du diabète à l’insuline. Ces personnes ont le remord de conscience après avoir lu mes 14 épisodes traitant sur le diabète. Grâce aux efforts des parents que ces personnes ont pu devenir Docteurs, Pharmaciens, Ingénieur....tous les membres de la famille se sont unis pour prendre soin des parents selon les directives de la médecine, en leur répétant les conseils suivants:

Ne pas oublier de prendre des médicaments ou des injections à tous les jours.

Ne pas consommer du sucre, des aliments ou boisson sucrées, des fruits, ce qui donneraientt des artérioscléroses, nécessitant des opérations cardiaques.

Ne pas manger trop de riz, qui fait monter aussi la glycémie, amenant à la dialyse rénale.

Ne pas manger des protéines, mais manger plus de légumes.

Ne pas manger des graisses, qui donneraient de l’artériosclérose.

Ne pas laisser la glycémie dépasser 7mmol/L, sinon les médecins vont augmenter la dose d’insuline.

Les parents ont toujours été bien soignés durant des dizaines d’années, mais leur santé s’est détériorée avec le temps, comme fatigue générale, insuffisance cardiaque, coma...Les parents sont morts peu de temps après leur admission d’urgence à l’hôpital.

Ce sont des enfants nantis de la bonne piété filiale, de la responsabilité envers leurs parents, mais impuissants devant la mort de leurs parents selon les normes médicales. Leur remord est de ne pas pouvoir chérir leurs parents durant leurs derniers jours. Se sont-ils laissés subjugés par les sciences médicales? pour être tellement sévères envers leurs parents, concernant la médication.

Aujourd’hui nous allons décortiquer les 6 directives ci-haut citées pour prouver à nous, si nous ne sommes seulement que des enfants stupides, bornés, ou vraiment malveillants envers nos parents.

Étant des malades, nous devrions nous rendre compte de l’évolution de notre état de santé durant le traitement, pour ainsi réagir s’il y a aggravation continuelle du diabète. La phobie du diabète a incité toutes les structures sociales à s’aligner dans la même direction: production de plus en plus de médicaments, production des aliments et des boissons sans sucre, proposition au public des multitudes régimes alimentaires.....le tout ne contribue qu’à augmenter les cas de diabète avec le temps, à cause de la privation du sucre dans l’alimentation.

Toutes personnes ou toutes situations nous infligeant des malheurs, cela est due à la loi de la graine et du fruit selon l’Enseignement du Bouddha. C’est nous qui ne sommes pas conscients, et nous nous laissons entrainer dans l’actuel courant social économique.

Question 1: Ne pas oublier de prendre des médicaments ou des injections à tous les jours.

C’est une grave erreur de prendre systématiquement des médicaments ou des injections sans mesurer au préalable la glycémie, pour savoir si elle est haute ou basse. Si la glycémie est basse, une injection la baisserait davantage, amenant au coma des fois mortels. Sentant leur glycémie basse, les parents n’osent pas prendre de l’insuline, mais les enfants les obligent à suivre les recommandations du médecin, sous peine de voir une élévation brusque de la glycémie. Le médecin, en suivant un protocole de traitement préétabli, ne peut pas non plus donner des suggestions personnelles, c’est ce qui a conduit aux décès inattendus. Cette situation a créé bien des disputes entre les membres de la famille concernant le soin des parents. Nous devrions être souples pour avoir un comportement approprié à chaque situation, en connaissant l’action de l’insuline. Selon les fabricants, une Unité d’insuline fait baisser la glycémie de 50 mg/dL. La baisse de la glycémie peut varier de 30 mg/dL à 100 mg/dL selon les individus.

Selon le QiQongThérapie, par peur de mourir, et en suivant systématiquement les directives du médecin, on s’est donné involontairement à soi-même la mort. Le médecin n’y est nullement impliqué.

Question 2: Ne pas consommer du sucre , des aliments ou boisson sucrés, des fruits, ce qui donneraient des artérioscléroses, nécessitant des opérations cardiaques.

Pour vivre et fonctionner, les cellules ont toujours besoin d’une certaine quantité de glucose dans le sang circulant. L’Association Américaine en Cardiologie a stipulé que le coeur doit avoir 9 cuillères à café de glucose par jour, soit 36g/jour(9x4g=36g), le cerveau et le système nerveux central ont besoin de 144g de glucose/ jour.

Glucose +Protéine=Glycoprotéine servant à fabriquer le sang. Ainsi sans glucose, il y aurait manque de production sanguine, et les aliments seraient transformés en graisse.

On pense que tous les sucres ont la même action, en réalité, les cellules n’acceptent que le glucose. Les autres sucres sont acheminés par l’insuline au foie pour y être transformés en glycogène et en graisse, qui seront reconvertis en sucre si besoin est.

Glucose+Lipide=Glycolipide servant à créer les membranes cellulaires, les lubrifiants des articulations, les tendons, les fibres nerveuses, les ligaments, le cartilge, les os. Sans sucre, les cellules vont mourir suite au démantèlement des membranes cellulaires. Sans sucre, le corps va manquer d’énergie, donnant de la faiblesse, des étourdissements, des éblouissements, des tremblements des membres, de la difficulté respiratoire, de la perte de l’appétit, des perturbations digestives, de la malnutrition...
Les cardiologues ont aussi reconnu que les décès, d’origine cardiovasculaire, ne sont nullement reliés à ni la basse ou haute glycémie, ni au bas ou au haut taux de cholestérol.

Question 3: Ne pas manger trop de riz, qui fait monter aussi la glycémie, amenant à la dialyse rénale.

Les hydrates de carbone, les protéines, les lipides se trouvent dans les aliments de tous les jours. Les hydrates de carbone sont une source de vitamines, de minéraux, de fibres, et d’autres composés indispensables, qui seront transformés en glucose par l’organisme pour son besoin.

La présence des protéines alimentaires est bien nécessaire pour que la rate- pancréas puisse produire de l’insuline interne, laquelle va acheminer le glucose, le sang, les lipides, vers les cellules pour leurs survie et leurs fonctionnements.

C’est une erreur de ne pas consommer de riz (brun, blanc), car le riz contient des protéines, mais très peu de sucre. Composition de 45 g de riz brun/blanc:
Calories: 170 / 160
Protéines: 4g / 3g
Lipides : 1.5g / 0g
Hydrates de carbone : 35g / 36g
Fibres : 4g /1g
Sucre : 0g / 0g
Fer : 0.36mg /0.36mg
Sodium( Na) :30mg / 0mg

Selon l’Apport Diététique Recommandé (RDA/ Recommended Dietary Allowance), la quantité minimale de protéine par jour est de : 0.8 g à 1.3 g /kg de poids corporel. Ainsi une personne de 50 kg a besoin de 50 g de protéine/jour. Un bol de riz blanc de 180 g ne contient que 12 g de protéine, mais pas de sucre.

Selon Wikipédia, la composition de 100 g de riz blanc est de:
Calories: 130
Lipides : 0.3 g
Cholestérol : 0 mg
Sodiun (Na) : 1 mg
Potassium (K) : 35 mg
Hydrate de carbone : 28 g
Fibres : 0.4 g
Sucre : 0.1 g
Protéine : 2.7 g
Vit A : 0.1 U
Vit D : 0.1 U
Vit B6 :0.1 mg
Calcium : 10 mg
Fer : 0.2 mg
Magnésium : 12 mg
Ainsi ne pas manger de riz, sous prétexte que le riz contient du sucre, est une grave erreur, on perd également d’autres facteurs nutritifs contenus dans le riz.

Question 4: Ne pas manger des protéines, mais manger plus de légumes.

Le régime normal ou végétarien contient toujours des protéines. Les protéines se trouvent dans le règne animal: fruits de mer,viandes rouges ou blanches, ainsi que dans le règne végétal: tofu, pois, soya....Les hydrates de carbone contenus dans les tubercules, pommes de terre, pains, céréales, lentilles, fruits, jus de fruits pressés sont une sourse de protéine et de fibres indispensables au système cardiovasculaire et aux intestins. L’insuffisance rénale chronique conduit aux maladies cardiaques. C’est la principale cause des décès des personnes qui ont recours aux dialyses rénales.

Les études ont montré que la présence des fibres alimentaires réduisent la tension artérielle ainsi que les inflammations.

Sans protéine, la rate-pancréas ne peut pas produire de l’insuline pour faire pénétrer dans les cellules les lipides, le glucose, le sang, l’oxygène...les cellules vont être toujours mal nourries. Par contre, le sucre et les lipides, restant dans le sang circulant, vont élever le taux de sucre et de cholestérol sanguin. Pourquoi interdire la consommation des protéines alimentaires normales, mais importer dans l’organisme de l’insuline externe et des médicaments pour baisser le cholestérol? Serait-elle une exploitation financière aux dépens des malades ?

Une boîte contenant 5 seringues d’injection d’insuline, 3 mL chaque, se vend de 450 à 500 US.

Personne n’est consciente qu’on est incitée à une auto suicide en utilisant de l’insuline externe, qui bloque la production de l’insuline interne par le pancréas, amenant au cancer du pancréas. Comme il n’y a pas d’insuline interne pour faire rentrer le sucre dans les cellules, il y aurait élévation de la glycémie, qui nécessite de plus en plus l’apport d’insuline externe.

Après le repas, c’est normal que la glycémie augmente, mais deux heures après, la glycémie va redescendre à la normale, s’il y a des activités, ces activités vont activer les cellules afin de produire du sang. S’il n’y a aucune activité, le sucre inutilisé dans le sang serait acheminé vers le foie pour y être stocké sous forme de glycogène et de graisses, amenant à l’obésité, à la faiblesse et à la fatigue cardiaque.

Question 5: Ne pas manger des graisses, qui donneraient de l’artériosclérose.

Publication intitulée: Une consommation insuffisante de graisse est néfaste pour la santé, et pourrait devenir un danger mortel.
Extrait de Docteur Phạm Hiếu Liêm MD, former Jackson T Stephens Professor and Vice Chairman of the Donald W Reynolds Department of Geriatic, UAMS.

En l’an 1870, Professeur Ancel Keys du département de nutrition de l’Université de Minesota a publié les résultats des études effectuées dans 7 pays d’Europe et d’Amérique disant que la consommation des matières grasses saturées est la cause des maladies cardiovasculaires et du taux élevé de cholestérol. Depuis lors, tous les scientifiques se rallient au Professeur Keys. L’Association des Spécialistes Américains conseille aux américains de ne pas consommer des matières grasses. Les américains ont dépensé une fortune considérable pour pouvoir acheter des aliments étiquettés sans gras ou faible teneur en gras. Les médecins ont toujours conseillé d’éviter les matières grasses, surtout provenant des animaux, durant une quarantaine d’années. Durant cette période, ont surgi des courants d’idées contraires, des paradoxes, mais les scientifiques et le gouvernement américain s’obstinent sur la politique de réduire les matières grasses.

Paradoxe: Le peuple français aime toujours bien manger, n’a pas évité le gras de toute provenance....Les français continuent à manger du beurre, du fromage, des oeufs, de la viande de boeuf, de poulet, de canard, de porc...En France, le pourcentage des personnes atteintes d’obésité, de diabète type 2, de maladies cardiovasculaires est inférieur à celui des États Unis et des pays européens avoisinants. La raison est que les français boivent beaucoup de vin, qui contient beaucoup d’antioxidants, comme le resveratrol des pelures des raisins.

Les études effectuées par l’Université de Tulane et les écrits du journaliste O’Connor ont donné raison au paradoxe. La médecine et le gouvernement américain ont fait fausse route en supportant une nutrition sans gras. Les scientifiques ont revisé les résultats des études du Professeur Keys, et ont trouvé bien des lacunes menant à l’obtention des résultats qui ne réflètent pas la réalité.

Éviter le gras est néfaste pour la santé, car on perd des vitamines solubles dans le gras: A, D et K.

Différents cancers ont été observés chez les personnes avac une basse teneur en cholestérol dans le sang. À date on ne sait pas si la basse cholestérolémie cause le cancer ou vice versa.

Les aliments suivants contiennent des gras bénéfiques. Les huiles: d’olive, de canola, du foie de poisson, de coco, d’arachide, le gras de canard, le jaune d’oeuf....Le manque de gras prédispose aux hémorrhagies cérébrales.

Pham H MD

Dans le cours précédent, nous avons appris le rôle du glucose dans le métabolisme des lipides.

Les matières grasses de boeuf, du poulet, du porc, du canard, du jaune d’oeuf, des entrailles et viscères des animaux...sont assimilées au niveau des intestins, puis entrent dans circulation sanguine sous forme de lipoprotéines, et acheminées vers les tissus, les muscles comme source d’énergie.. ou pour former des tissus adipeux de réserve dans le ventre, les cuisses, les fesses...La présence de cholestérol dans le sang circulant est donc bien normale.

Par contre, le manque de matières grasses dans le sang prédispose aux hémorrhagies cérébrales, ne permet pas les productions: de la couche protectrice des nerfs, des anticorps, des globules rouges. Les jeunes femmes avec peu de graisse dans le sang ont plus de problèmes menstruels et l’arrêt des cycles plutôt que les autres.

On a observé un haut pourcentage d’Alzheimer, d’hépatite, d’allergie, de dégérescence articulaire, de décès par congestion cardiaque... chez les personnes avec une basse teneur en cholestérol que chez les personnes avec une haute teneur en cholestérol
Pour prévenir les maladies, on a besoin d’une alimention qui contient des graisses, sans exagération. C’est l’amidon et le sucre blanc raffiné qui font élever le cholestérol plus que les graisses dans les aliments. Ainsi, manger plus de poissons, de fruits et de légumes. Étant végétarien, manger plus d’avocats avec de glucose, si on manque de sucre, ou avec du sel et du poivre, des feuilles de laksa si on la basse tension artérielle. Pratiquer les exercises physiques ou la marche est à conseiller environ 30 minutes par jour.

Ainsi inciter les parents à éviter le gras est involontairement leur faire du mal.

Question 6: Ne pas laisser la glycémie dépasser 120 mg/dL(7 mmol/L), sinon les médecins vont augmenter la dose d’insuline

Au début de chaque vidéo parlant du sucre, j’ai pris du sucre pour élever ma glycémie bien plus haute que les valeurs de la médecine occidentale pour la faire baisser naturellement en fin de séance de cours, et ce, pour prouver que c’est un danger mortel de traiter le diabète en maintenant constamment une basse glycémie. Ma glycémie a été toujours haute depuis 40 ans, et je suis toujours en bonne santé, sans aucune maladie. Si j’ai suivi le traitement de la médecine occidentale, je ne serais plus de ce monde depuis longtemps.

Il y a diabète quand la glycémie est plus que 7 mmol/L, et il faudrait de l’insuline est comme un piège. Nous ne nous demandons pas pourquoi plus la dose d’insuline augmente plus la glycémie augmente, et plus notre santé détériore: faiblesse, amaigrissement.

Concernant un cas particulier du Viet Nam, avant la prise du pouvoir par les communistes en 1975, il y a peu de cas de diabète nécessitant de l’insuline. Après 1975, il n’y a plus de diabète, car les personnes sont envoyées dans les camps de rééducation, doivent travailler fort, et demandent à leur famille de les approvisionner en sucre à chaque visite au camp. Ce qui prouve que le travail physique baisse la glycémie. Le diabète s’installe chez les personnes qui mangent beaucoup mais sans pratiquer les activités physiques.

Le Créateur a créé un corps humain bien parfait pour qu’il puisse se maintenir par lui-même en vie pour autant que l’alimentation renferme les 4 éléments: glucose, lipide, protide et oxygène. Le corps fabrique sa propre insuline pour maintenir la glycémie autour de 7 mmol/L. Les 3 grands fabricants d’insuline sont pour la politique d’éviter le sucre, les gras, les protéines... pour que le corps ne produise plus d’insuline. Le manque de sucre et du gras perturbe le métabolisme de la digestion, des lipides, du sucre...Le coeur et le cerveau ont besoin de glucose pour fonctionner. En remplaçant les glucides par les légumes et légumineuses, le régime cétogène amène à l’acidification du sang et au cancer du foie.

Une glycémie supérieure à 7 mmol/L nécessite l’apport de l’insuline. L’insuline externe ne fait pas pénétrer le sucre dans les cellules, mais achemine le sucre vers le foie pour y être stocké en glycogène et en graisses, la glycémie baisse immédiatement, laissant les cellules toujours sans nourriture, même après un repas. En attendant que le foie libère du glucose à partir du glycogène et des graisses, le foie doit soutirer immédiatement du sucre des muscles, de la moelle, des os pour assurer la vie et le fonctionnement du coeur et du système nerveux, ce qui élève de nouveau la glycémie à 7 mmol/L.

Le corps maintient automatiquement une glycémie sécuritaire de 7 mmol/L pour sa survie. La médecine occidentale stipule que 120 mg/dL(7mmol/)L est une haute glycémie qu’il faudrait la baisser, en doublant la dose d’insuline. Le corps va doubler le soutirage du sucre à partir de toutes les cellules du corps, la glycémie monte à 200 mg/dL (11 mmol/L). À 3 fois plus d’insuline, le corps va soutirer 3 fois plus de sucre des cellules. À 4 fois plus d’insuline, le corps soutire 4 fois plus de sucre des cellules, élevant la glycémie à 500 mg/dL (27.8 mmol/L)...ainsi de suite. À 1000 mg/dL, il n’y a plus rien ni d’endroit à soutirer du sucre, le corps va s’effondrer. C’est une mort insensée suite au combat entre le corps et l’apport d’insuline externe, la seule coupable. Sans être approvisionnées en glucose, les cellules du corps sont comme une armée sans munition qui doit affronter une armée bien nantie de canons d’insuline ! En obligeant les parents à avoir des injections régulières d’insuline, involontairement, les enfants ont prêté main forte à une médecine sans conscience. Ce sont ces enfants stupides et bornés qui ont tué leurs parents.

Par contre il a des cas où les enfants ont plus de bon sens, ont vu le paradoxe, les parents plus clairvoyants ont arrêté par eux-mêmes la médication pour prendre du glucose ou du jus de canne à sucre, sans en faire part aux enfants...et ont ainsi regagné de la force, de la santé... Une mère a avoué à son enfant qu’elle n’a plus suivi la médication depuis un bon moment, et a pris du glucose selon le QiQongThérapie, maintenant elle se sent bien. L’enfant a réconforté sa mère en disant: continues à prendre du glucose si ça te fait du bien, c’est l’essentiel. C’est un cas d’un enfant ouvert et bienvaillant.

Il est bien conseillé d’avoir un glucomètre pour suivre la glycémie et pour la maintenir à l’intérieur des valeurs sécuritaires recommandées de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé en 1979), soit
À jeun 100 mg/dL à 140 mg/dL (6 mmol/L à 8 mmol/)
Après repas 140 mg/dL à 200 mg/dL(8 mmol/L à 11mmol/L )

Ainsi on évite d’avoir des perturbations du métabolisme de la digestion, du sucre, des lipides, des protides.

Un glucomètre est indispensable pour connaitre l’effet du jus de canne à sucre ou du jus de fruits dans la baisse de la glycémie.

La montée de la glycémie après repas ne constitue pas de danger. Ce serait un danger mortel quand la glycémie descend à 3.5 mmol/L. Cette vidéo présente le cas d’une personne avec toujours une haute glycémie après repas de 488 mg/dL(27.1mmol/L) depuis juillet 2018 jusqu’à juillet 2019. Après avoir pratiqué les exercices de QiQongThérapie, la glycémie redescend à la valeur normale, sans traitement médical, sans aucune médication, sans injection... ce qui lui a permis de bien vivre et de bien fonctionner jusqu’à date (2019). L’injection d’insuline externe crée un combat de compensation mortel entre le corps et l’insuline. L’insuline baisse la glycémie de 200 mg/dL, le corps réinjecte 200 mg/dL, le corps compense 500 mg/dL à une baisse de 500 mgl/dL. Ce qui explique pourquoi plus on augmente la dose d’insuline, plus la glycémie augmente. À ce moment, toutes les graisses sont converties en sucre pendant les derniers moments de survie. En présence des corps cétoniques, produits de la dégradation des graisses, le sang devient acide avec un pH5, lequel provoque des cancers. À pH4 c’est la métastase, à pH3, c’est la mort.

Dans 1/2 L de jus de canne à sucre, il y a l’équivalent de 30 cuillères à café de glucose. Après ingestion du 1/2 L, la glycémie ne varie pas beaucoup, mais après 2 heures, la glycémie va baisser, car quand le glucose arrive aux reins, les reins vont garder la quantité indispensable pour le corps et évacue le reste dans les urines.


Pas de crainte pour les maladies chroniques ou cancers
Selon le QiQongThérapie, pour traiter ces maladies, il faut traiter l’origine du trouble, c’est à dire la cellule, en lui fournissant les 4 éléments essentiels: glucose, lipides, protides, et oxygène. Les cellules mal nourries vont mourir, en s’agglomérant ensemble, vont donner le cancer.

Ce sont les aliments et les boissons, en favorisant a production du sang par les cellules et en protégeant l’intégrité de la membrane cellulaire, qui permettent de traiter ces maladies.

Le glucose devrait être de nature Yang et de pH alcalin.

Le pancréas utilise les protéines dans le sang circulant pour produire l’insuline interne fonctionnelle.

Cette insuline interne achemine et fait pénétrer dans les cellules les globules rouges, les lipides, les protides, l’oxygène..Ainsi .les cellules reçoivent de la nourriture et rejettent les déchets. Les cellules, les muscles, le système nerveux, le coeur, le cerveau, la moelle, les os.. vont prendre leur part de glucose, la quantité de glucose restant dans la circulation sanguine doit être maintenue suffisante pour que le coeur, le cerveau et le système nerveux puissent fonctionner de 4 à 6 heures. Tout excès de glucose dans le sang va au foie pour y être stocké en réserve en premier lieu sous forme de glycogène maximum de 100 g, puis le reste de glucose est mis en réserve sous forme de graisse. Si besoin est, le foie va reconvertir le glycogène en glucose en premier, après les graisses seraient dégradées en sucre.

Les cellules vont utiliser le glucose et les protéines, de l’alimentation, pour produire du sang: globules rouges, globules blancs, plaquettes. Si on mange mal ou ne mange pas pendant un certain temps, il y aurait perte de sang et perte de poids.

Les cellules utilisent le glucose et les lipides, de l’alimentation, pour produire et maintenir l’intégrité de la membrane cellulaire, pour protéger la peau, maintenir la chaleur corporelle. Tout excès de graisse est mis en réserve dans le ventre, les cuisses, les fesses, pour être converti en sucre afin de produire du sang, en cas de besoin.

La formule du sang oxygéné est Fe2O3, après avoir nourri les cellules, le sang devient Fe2O2. Sans ré-oxygénation (manque d’exercice, mauvaise respiration), il ne reste que du Fer dans le sang, (Fe2), les cellules vont devenir cancéreuses.

Le corps produit sa propre insuline interne et régularise automatiquement la glycémie, pour maintenir une glycémie sécuritaire de 120 mg/dL(7 mmol/L). Si la glycémie descend à 80 mg/dL (5 mmol/L), le foie va libérer du sucre pour élever de nouveau la glycémie. À une glycémie de 100 mg/dL(6 mmol/L), on sentirait de la fatigue, de la faiblesse aux membres, on doit s’alimenter. Après le repas, la glycémie va monter pour redescendre à la normale 2 heures après.

Cause de la perturbation du métabolisme du sucre et de la digestion
La médecine occidentale stipule que 120 mg/dL(7 mmolL) est une trop haute glycémie, il faudrait amener de l’insuline externe pour baisser la glycémie. Chaque injection fait baisser la glycémie de 30 à 100 mg/dL(en moyenne 50 mg/dL ). L’insuline externe bloque la production de l’insuline interne, entrainant l’inflammation puis le cancer du pancréas. L’insuline externe ne peut pas faire rentrer la nourriture dans les cellules, les cellules vont être mal nourries, aussi longtemps qu’il y aurait d’injection. Les aliments ne sont pas transformés en sang, mais en graisses déposées au foie et au ventre. Disons que chaque injection baisse la glycémie de 50 mg/dL, le corps compense la perte de sucre en soutirant le sucre du glycogène, des muscles, des os, de la moelle.....Voyant la glycémie augmentée, on double la dose d’insuline, le corps va doubler la quantité de sucre à soutirer de toutes les régions du corps, donnant de l’amaigrissement, de la faigue, de la perte du poids..... En triplant la dose d’insuline, le corps va tripler la quantité de sucre à soutirer.....ainsi de suite jusqu’à il n’y a plus d’endroit, rien à soutirer, ni sucre ni graisse, c’est la mort. Ce n’est pas une mort suite au diabète, mais l’abus de l’insuline qui cause la mort.

Une personne reste bien vivante pendant 20 ans, sans rien manger, en ne buvant que du jus de canne à sucre. La raison est que le jus de canne à sucre contient du glucose, des protéines, des lipides, des minéraux..... le corps a suffisamment de quoi pour produire du sang, de l’insuline, des graisses et maintenir la glycémie sécuritaire.

C’est seulement après un certain temps dans un milieu acide de pH 5, que les cellules mal nourries vont devenir cancéreuses. La métastase débute à pH 4.

Pour traiter le cancer: boire du jus de canne à sucre pour diminuer l’acidité sanguine et maintenir un pH 7, manger du Phỡ (potage au bœuf) pour avoir du glucose, des protéines, des lipides... et pratiquer les execices de QiQongThérapie pour saturer le sang en oxygène afin de maintenir stable la formule sanguine Fe2O3. Ainsi les cellules cancéreuses seraient regénérées en cellules saines. Traiter le cancer n’est pas tuer les cellules, mais régénérer les cellules. Dans les cas de cancers plus graves avec un pH 4, il faudrait boire de l’eau alcalinisée de pH 9.5 à la place de l’eau simple, boire du jus de canne à sucre, manger du Phỡ (potage au boeuf), après le repas pratiquer lentement l’exercice “Amener les genoux à la poitrine en soufflant pour assouplir le ventre” 200 à 300 fois. Après 5 à 6 mois, l’examen ne montrerait plus de cancer.